L’un est plutôt en fin de carrière après 21 ans d’exercice (dont 8 en championnat de France). L’autre vient d’intégrer (juillet 2010) le cercle très fermé des arbitres franc-comtois (voir ci-contre) officiant avec l’écusson bleu blanc rouge. Mais Yann Prétot et Aurélien Triboulet ont un autre point en commun, celui de siffler pour le même club : l’US Larians-Munans.
Avec un son de cloche commun, les deux compères visent la même cible les yeux fermés : « C’est à Dominique Prétot, le papa de Yann qui a beaucoup œuvré et qui apporte encore au club, que l’on doit nos carrières. Pour ma part, sans lui je n’en serais pas là. Il m’a toujours suivi, conduit aux matchs et conseillé avec un regard différent de celui d’un observateur », lâche sans hésitation Aurélien.
Bien avant, c’est donc Yann, professeur des écoles dans le civil, qui a pu profiter des conseils paternels : « J’allais souvent l’aider à faire la touche où le centre lors des matchs qu’il encadrait. Et c’est à 16 ans que mon père m’a incité à tenter l’aventure. Tout comme il a toujours proposé des séances d’arbitrage aux jeunes fréquentant l’école de foot ».
Un passage de témoin qui se poursuit avec également l’investissement régulier et actif d’Aurélien dans la vie du club « au travers notamment des entraînements en commun avec les seniors ». Histoire de susciter pourquoi pas des vocations.
« C’est en accompagnant Yann dans ses déplacements lorsqu’il était candidat fédé qu’il m’a donné goût à la fonction », ajoute Aurélien qui, à seulement 24 ans, a l’avenir devant lui. Contrairement à son mentor dont « la fin est programmée dans un an et demi pour des raisons purement réglementaires ». Pas d'inquiétude pour autant car derrière, Quentin Pourchot semble bien parti pour siffler sur les mêmes traces…
Avec un son de cloche commun, les deux compères visent la même cible les yeux fermés : « C’est à Dominique Prétot, le papa de Yann qui a beaucoup œuvré et qui apporte encore au club, que l’on doit nos carrières. Pour ma part, sans lui je n’en serais pas là. Il m’a toujours suivi, conduit aux matchs et conseillé avec un regard différent de celui d’un observateur », lâche sans hésitation Aurélien.
Bien avant, c’est donc Yann, professeur des écoles dans le civil, qui a pu profiter des conseils paternels : « J’allais souvent l’aider à faire la touche où le centre lors des matchs qu’il encadrait. Et c’est à 16 ans que mon père m’a incité à tenter l’aventure. Tout comme il a toujours proposé des séances d’arbitrage aux jeunes fréquentant l’école de foot ».
Un passage de témoin qui se poursuit avec également l’investissement régulier et actif d’Aurélien dans la vie du club « au travers notamment des entraînements en commun avec les seniors ». Histoire de susciter pourquoi pas des vocations.
« C’est en accompagnant Yann dans ses déplacements lorsqu’il était candidat fédé qu’il m’a donné goût à la fonction », ajoute Aurélien qui, à seulement 24 ans, a l’avenir devant lui. Contrairement à son mentor dont « la fin est programmée dans un an et demi pour des raisons purement réglementaires ». Pas d'inquiétude pour autant car derrière, Quentin Pourchot semble bien parti pour siffler sur les mêmes traces…
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